Charles Fitzhugh Talman (auteur de "The Realm of the Air." "Our Weather." Etc.: The Charleston Daily Mail, 19 juillet 1931 [1]
Qu'est-ce que le Will-o'-the-Wisp, si rare et évasif qu'il a virtuellement échappé à l'examen scientifique ? Qu'est-ce qui cause la foudre en boule et la "lumière inconnue du Japon" ? De telles apparitions de lumières sont des mystères pour lesquels la science n'a jamais évolué vers des solutions satisfaisantes
A Ringstead Bay, sur la côte sud de l'Angleterre, un après-midi d'août 1876, 2 dames, Mme Warry et Melle Warry, marchaient le long du bord d'une falaise surplombant la mer. Le temps était calme, chaud et étouffant, et des éclairs occasionnels avaient été vus tout au long de la journée. Les entourant de tous côtés et s'étendant de plusieurs pouces à plusieurs pieds au-dessus du sol elles observèrent de nombreux globes de lumière, de la taille de boules de billard, qui se déplaçaient indépendamment et verticalement, vers le haut et le bas, parfois à moins de quelques pouces des observatrices, mais sans qu'on puisse jamais les attraper.
Les boules, indique un rapport de cet événement publié dans le Journal Trimestriel de la Société Météorologique Royale, étaient toutes embrasées ; mais non brillantes ; avec une superbe iridescence douce, de teinte riche et chaude. Leur nombre fluctuait continuellement. A un moment des milliers d'entre elles enveloppèrent apparement les observatrices, et quelques minutes plus tard les nombres allaient diminuer à peut-être aussi peu que 20, pour bientôt essaimer à nouveau aussi nombreuses que jamais. Pas le plus petit bruit n'accompagna cette apparition.
Les dames virent l'étrange spectacle pendant plus de 1 h avant de rentrer chez elles, laissant les lumières toujours dansantes sur la falaise.
Ainsi cours leur récit, tel qu'enregistré dans un journal scientique de respectabilité éminente. Le récit n'est pas nécessairement vrai ; mais il n'est pas non plus nécessairement faux. La raison pour laquelle vous le pouvez par l'écarter d'un haussement d'épaules est que, loin d'être l'unique signalement d'un événement improbable, il est l'une d'un nombre d'histoires plus ou moins semblables présentées dans des publications n'ayant aucune affinité avec le journalisme de bas étages.
Dans ce cas, comme dans de nombreux autres, les personnes rapportant leurs expériences n'étaient pas des observateurs entraînés. Elles auraient pu avoir une imagination fertiel. On pourrait même suggérer — après a discreet lapse of fifty-odd years — qu'elles étaient adoraient romancer aux dépends d'une communauté crédule. Que dirions-nous, cependant, si en fait des hommes scientifiques de véracité inattaquable rapportaient de semblables rencontres ?
En 1897, à Linguy (France), de la foudre de boule devasta une maison, mais ne blessa pas les occupants [2]
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Personne, par exemple, n'est mieux qualifié pour nous donner un récit exact de toute manifestation lumineuse qu'il a vue que le Dr. Matthew Luckiesh, qui a publié plusieurs livres bien connus sur le sujet de la lumière naturelle et artificielle, et qui il y a quelques années a répertorié une observation personnelle de quelque chose qu'il a classé comme will-o'-the-wisp, ou ignis fatuus. Ce classement n'est pas une explication de ce qu'il a vu, parce que, bien que le will-o'-the-wisp ait été connu de l'humanité depuis des ères, le mystère de son origine et de sa nature n'a jamais été résolu.
Le Dr. Luckiesh faisait une marche une nuit sombre en janvier dans le désert entre Goodsprings (Nevada) et Ivanpah (Californie). Vers 2 h du matin il arriva sur une zone où une des rares averses de la région et la fonte de la neige dans les montagnes voisines avaient laissé quelques entendues d'eau temporaires et peu profondes. Soudain, alors qu'il pataugeait dans l'une d'entre elles, il vit un objet lumineux flotter dans les airs. Alors que sa taille et sa distance étaient inconnues, on aurait pu le prendre pour la lumière de la fenêtre d'une cabane si ce n'est qu'il n'y avait aucune habitation humaine à 20 miles à la ronde.
Presently la lumière vogua au large à une petite distance sur un côté puis s'arrêta. Bientôt d'autres apparûrent ; certaines flottant apparemment stationnaires, d'autres fusant ici et là. Lorsque l'apparition fut à son combre des centaines de lumières individuelles étaient visibles simultanément, et continuèrent de l'être pendant 1 h ou plus.
La suggestion "lucioles" vous viendra probablement. Mais, mis à part le fait que les lucioles sont pratiquement inconnues dans la région mentionnée, souvenez-vous que l'observateur dans ce cas était non seulement un homme de science compétent mais quelqu'un qui s'était spécialisé depuis des données dans l'étude des phénomène lumineux. Il est inconcevable qu'il ne soit pas parvenu à reconnaître ces insectes familiers.
Pas plus qu'il ne semble probable que des lucioles ou tout autre variété commune de matière vivante lumineuse (dont il existe plusieurs types) aient pu tromper le professeur L. A. Hausman lorsque, en avril 1921, il vit des objets que lui, aussi, identifia comme des feux follets. Le professeur Hausman est un naturaliste expérimenté enseignant la zoologie à l'Université Rutgers. Il observa l'apparition vers 21 h, près de Cayutaville (New York).
Cela consistait, dit-il, en 5 flammes ou globules distincts de lumière bleuâtre à peu près de la taille de pièces de 1/2 dollar, ondulant suspendues, apparemment en plein air, au milieu de roseaux et buissions au-dessus zone de sol marécageux et à environ 15 pieds de la route.
On peut faire correspondre à ces 2 cas récents de ce qu'on appelle les feux follets peuvent des centaines d'observations rapportées ces années passées. Aussi étonnant que cela puisse paraître, la plupart de l'information que nous possédons aujourd'hui sur ce phénomène — sans parler de beaucoup d'informations erronées — a été handed down from the days de nos arrière-grand-pères. La science a par le passé était bien plus intéressée qu'elle n'apparaît l'être aujourd'hui par l'observation des feux follets et la tentative de les expliquer, et de nombreuses descriptions circonstantielles d'observateurs compétents ont été publiées dans la 1ère moitié du 19ème siècle et auparavant.
Ces archives ne correspondent pas tout à fait aux traditions populaires concernant le phénomène. Il était généralement décrit comme ayant l'apparence d'une flamme et suspendu à quelques pieds au-dessus du sol ; mais, bien qu'il pouvait éventuellement se déplacer dans un rayon limité, il ne faisait pas montre de son attrait proverbial pour s'en aller devant le voyageur qui pensait le rattraper. Il était généralement difficile à accéder, parce qu'il apparaissait généralement au-dessus des marais, mais plusieurs personnes, dont des scientifiques professionnels, rapportèrent en avoir vu de près et même en avoir touché. Il y eu un cas célèbre où le professeur Knorr, de Kiev, maintint l'embout de sa cane dans l'une des flammes durant 1/4 h sans qu'il en devienne sensiblement réchauffé. Un autre observateur, le major Blesson, parvint, bien qu'avec difficulté, à allumer un morceau de papier en le maintenant dans un feux follet ; mais pratiquement tous les éléments de cette période indiquèrent que les lumières ne possédaient que peu ou pas de chaleur.
Savoir simplement pourquoi la science de nos jours tend à ignorer ce phénomène — est loin d'être clair. Le fait est que les ouvrages scientifiques modernes le mentionnent même, et les tentatives dans les ouvrages de référence générale de l'expliquer en terme de chimie évoquent des sourires chez le chimiste. Personne ne l'a jamais photographié ou examiné sa lumière avec un spectroscope. Autant que je sache, 1 seul scientifique encore vivant — le professeur Léon Dumas, en Belgique — prétend l'avoir reproduit avec succès en laboratoire, et sa recette d'un feux follet artificiel, testée il y a quelques années aux Bureaux des Standards des Etats Unis, ne réussit pas à produire des effets s'accordant avec les descriptions habituelles du phénomène naturel.
La meilleure supposition qui puisse être faite aujourd'hui quant à sa nature est que le véritable feux follet — en tant que distinct d'innombrables choses qui ont été prises pour lui — n'est pas, comme cela a généralement été supposé, qu'il est dû au consumation de gaz non-identifiés dans l'air mais à un certain type de luminescence, ou ce que l'on appelle "lumière froide," apparentée aux nombreuses déjà connues de la science, qui incluent la lumière des lucioles, le "feu de renard" du bois en décomposition et les splendides apparitions de luminosité vues dans l'océan. Le professeur Fernando Sanford may have hit the nail on the head lorsqu'il suggéra dans le "Mensuel Scientifique" d'octobre 1919 que les flammes apparentes des feux follets consistaient en des bactéries luminescentes transportées depuis les marais et les sols humides par des bulles de gaz qui s'élevaient.
La négligence de ce mystère à la vie dure par les hommes de science contemporains est d'autant plus remarquable face à l'attention particulière accordée à une autres manifestation lumineuse, semblable à certains égards feux follets et tout aussi mystérieuse. Celle-ci est vue principalement lors des orages et est appelée "foudre en boule".
Pratiquement un siècle s'est écoulé depuis qu'une autorité française distinguée, François Arago, a classé ce phénomène comme une forme de foudre et recueilli toute l'information disponible à son sujet à son époque. De nos jours pas une année ne passe sans la publication de nombreux rapports circonstanciés de son apparition. Voici un cas décrit l'été dernier par le professeur R. W. Wood, de l'Université John Hopkins :
Une maison sur le bord de mer fut frappée par 2 fois par la foudre en moins de 15 mn lors d'un violent orage. La 2nde décharge fit fondre le fil de téléphone juste à l'extérieur de la maison, suivi des fils dans la cave sous la cuisine, et fut suivie de l'apparition d'une boule lumineuse dans la cuisine à 3 pieds du sol environ. La cuisinière faisait face à l'endroit où la boule apparût et était suffisamment près pour la toucher, mais qu'elle s'abstint prudemment de le faire. Elle dit au professeur Wood qu'elle était jaune comme une flamme, d'environ 5 pouces de diamètre, et tournait sur elle-même comme un top. Elle ne put dire si la boule explosa ou disparût silencieusement, ayant battu retraite à la hâte par les escaliers de la cave. En revenant elle retrouva la cuisine pleine d'une brume fumeuse, et remarqua une forte odeur, qu'elle décrivit comme semblable à de l'acide. Aucune marque de la foudre ne peut être trouvée dans la cuisine, mais il y eut à l'évidence une énorme perturbation électrique sous le sol.
Il s'agit d'un des nombreux cas bien authentifiés où de la foudre en boule a été observée à l'intérieur, mais les exemples à l'extérieur sont plus courants. La boule est parfois d'abord vue émergeant de la base d'un nuage, ou, encore une fois, elle peut apparemment se former en plein air, ou d'abord sembler reposer sur un objet. Souvent, mais pas toujours, son apparition suit immédiatement un coup de foudre ordinaire. Les boules sont le plus souvent décrites comme rougeâtres, mais son parfois jaunes, bleues ou blanches. Un bruit de sifflement, ronflement ou flottement est souvent remarqué. Une boule peut être visible pendant une fraction de seconde jusqu'à plusieurs minutes, et peut dispparaître silencieusement, ou avec un léger craquement, ou avec une explosion deatening.
Les meilleurs chercheurs au monde sur la foudre ont pensé expliquer cet étrange produit dérivé de l'orage, mais sans succès. Une de ces autorités, le Dr. G. C. Simpson, directeur du Bureau Météorologique Britannique, a consacré une attention spéciale au sujet, mais a déclaré il n'y a pas très longtemps lors d'une conférence à l'Université Oxford ne pas avoir même le début d'une explication en vue.
Dans son pays, le Dr. W. J. Humphreys, du Bureau Météo, qui a recueilli des archives et descriptions de foudre en boule durant des années, a récemment adressé un appel au public, à travers les journaux de tout le pays à la recherche de signalements de cas observés lors de la saison d'orages actuelle. Le questionnaire du Dr. Humphreys se déroule comme suit :
Vu par qui; si d'autres l'ont vue aussi; quand (date) et où (localisation géographique); étape (début, milieu ou fin) de l'orage; dedans ou dehors; si dedans comment est-elle entrée et comment est-elle partie; une seule ou plusieurs; durée; couleur; taille; forme, nature de la silhouette (précise ou vague); bruit; couleur; position fixe ou en déplacement; si en déplacement, avec ou indépendamment du vent; direction du mouvement (vertical, incliné ou horizontal); vélocité; type de mouvement (fluide ou sautillant); effets produits; quoi que ce soit d'autre qui fut observé en relation avec. Il est demandé aux observateurs d'envoyer leurs signalements à cette adresse; Dr. W. J. Humphreys. Bureau Météo des Etats-Unis, Washington, D. C.
Des photographies du phénomène sont particulièrement souhaitées. Je ne connais que 2 cas où il est indiqué avoir été photographié, et dans les 2 il y a un doute sur l'authenticité des clichés. Ici, donc, se trouve une occasion pour le photographe amateur de rendre un service unique à la science.
Parmi les nombreuses conjectures mises en avant concernant ce mystère, une qui semble, actuellement, assez plausible est que certaines, au moins, de ce qu'on appelle les boules de feu rapportées avoir été vues par temps orageux étaient des décharges d'électricité par aigrette de morceaux de poussière ou d'autre matériau léger flottant dans l'air. Cette explication proposée identifierait la foudre en boule par un phénomène bien connu d'électricité atmosphérique nommé feu de Saint Elme, ou corposants.
Les manifestations ordinaires de feu de Saint Elme, bien que d'apparence assez bizarre, sont difficilement mystérieuses d'un point de vue scientifique. Elles sont le plus souvent vues aux extrêmtiés des mâts des navires, et en des points et des angles de divers objets élevés sur la côte, y compris les paratonnerres, les flèches d'église et les ridgepoles de bâtiments. Certains des meilleurs exemples sont observés sur des mountagnes élevées et isolées ; non seulement lors d'orages mais souvent lors de tempêtes de neige. Ils sont dûs dans tous ces cas à une fuite d'électricité d'objets chargés dans l'air environnant. De telles fuites donnent des effets semblables en laboratoire et forment souvent de nuit une "couronne" violette le long d'une ligne de transmission électrique transportant un courant à haut voltage.
Les décharges par aigrettes de ce type ne sont généralement que d'une fraction de pouce à quelques pouces de longueur, mais elles sont par moment si nombreuses qu'elles forment, collectivement, une apparition brillante. En février 1929, elles furent si brillante au sommet du Pic de Pike que, vues depuis Colorado Springs, à 14 miles de là, elles furent prises pour des signaux faits par des bikers sur le sommet enneigé et un avion fut envoyer pour investiguer. Une apparition magnifique fut observée lors de l'éruption du Krakatoa, en 1883, lorsque les longerons de bateaux sur des miles à la ronde de ce volcan indien de l'est furent constellés de corposants. Un capitaine, qui se trouvait à 10 miles de l'éruption, parla d'une étrange flamme rosée dans l'éruption venant des nuages, qui semblait toucher les têtes de mâts et yardarms. Dans 1 cas rapporté en Autriche il y a quelques années des milliers de corposants supposés furent vus à un moment dans une forêt sur un versant montagneux.
Dans l'air raréfié des grandes altitudes les décharges atteignent une plus grande taille qu'ailleurs. Ainsi, faute de meilleure explication, la science a proposé de classer comme une variété de feu de Saint Elme les merveilleuses lueurs et rayons de lumière qui couronnent fréquemment les sommets des Andes, tel qu'on le voit principalement depuis la côte ouest et l'océan adjacent, et aujourd'hui généralement décrites comme les "éclairs des Andes," ou les "lumières des Andes." Lors de la saison la plus chaude de l'année il n'est pas rare de voir le sommet des montagnes luisant continuellement, à travers la nuit, tandis que de grands rayons occasionnels, comme ceux d'un projecteur gigantesque, transperçent le ciel. Les indigènes ont longtemps considéré ces lumières comme le reflet d'une lave luisante dans les cratères des volcans, mais il semble ne pas faire de doute qu'il s'agit de sortes de décharges électriques. Apparemment les montagnes élevées font office de grands paratonnerres, d'où les courants d'électricité affluent dans l'air.
Des "lumières des Andes" ont été signalées dans les Alpes, et une fois ce phénomène bizarre fut supposé s'être produit dans les montagnes de Caroline du Nord. Grâce, cependant, aux investigations de l'Etude Géologique des Etats-Unis, nous savons aujourd'hui que ce que l'on appelle les "Lumières de Brown Mountain" de cet état ne sont rien de plus que les phares de locomotives et automobiles éloignées.
Apparemment le feu de Saint Elme suppose un nombre de formes différant de celles généralement décrites dans les livres. On raconte des histoires de branches d'arbres dessinées devant le ciel du soir dans une lueur de lumière bleutée, qui pourraient avoir été dues à ce phénomène. La poils et les crinières des chevaux ont été brillamment illuminés, en particulier lorsqu'ils étaient rendus humides par la pluie. Un météorologue allemand, le Dr. Walter Knoche, qui visita des points élevé des Andes pour étudier les décharges spectaculaires déjà mentionnées, parle d'avoir vu des flammes grosses comme des maisons balayer au-dessus de terrains neigeux en altitude.
Aucun des nombreux phénomènes lumineux étranges hantant l'air n'est plus mystérieux que celui fameux depuis plus d'un siècle sous le nom de "Bateau de Feu de Bay Chaleur". Il y a 25 ans le professeur W. F. Ganong, le botaniste bien connu, publia toute l'information qu'il parvint à glaner sur ce phénomène bizarre au travers d'interviews de personnes installées le long de la baie en question, dont de nombreux l'on vu de manière répétée. C'est sans réponse qu'il a laissé le mystère, qui reste ainsi encore aujourd'hui.
Ce qu'on appelle le "bateau" est vu principalement au-dessus des eaux de Bay Chaleur, au Canada, mais le même objet ou quelque chose d'approchant a été vu dans le Golf de St. Lawrence et dans les Northumberland Straits. Il intervient non seulement l'été mais aussi au-dessus de la glace l'hiver. Des gens sont sortis in boars pour l'examiner, mais chaque fois il disparaissait lorsqu'ils approchaient et réaparaissait à sa position d'origine après qu'ils soient passé au-delà d'une certaine distance. Sa silhouette habituelle est globalement hémisphérique avec le côté plat vers l'eau. Parfois il luit simplement sans trop de changement de forme, mais à d'autres moment s'élève en minces colonnes mobiles, donnant une apparence proche du calage flamboyant d'un bateau. Le fait de le voir est généralement considéré par les résidents du pays de Bay Chaleur comme le signe d'un temps orageux.
Le professeur Ganong, dans son récit publié de cet objet extraordinaire, indique que son origine est probably électrique, et est très probablement une phase du phénomène connu comme le feu de Saint Elme. Il n'offre, cependant, aucune explication de son apparence inhabituelle et ne suggère aucune raison de pourquoi il ne devrait apparaître que dans les limites d'une région particulière.
- Guenther, Daniel: "1931: Unsolved Mysteries of Light", Magonia Exchange, 28 mai 2007
- Dessin de Joseph Simont
- De l'"Histoire de Météores" de J. Rambosson