Par la main
Faites comme les petits enfants
qui de l'une des mains se tiennent à leur père,
et de l'autre cueillent des fraises
ou des mûres le long des haies ;
car, de même,
amassant et maniant les biens de ce monde de l'une de vos mains,
tenez toujours de l'autre la main du Père céleste,
vous tournant de temps en temps vers lui,
pour voir s'il a agréable vos activités ou vos occupations.
Gardez-vous bien surtout de quitter sa main et sa protection,
car s'il vous abandonne,
vous ne ferez point de pas sans donner du nez en terre.
Je veux dire que quand vous serez parmi les affaires et occupations communes,
qui ne requièrent pas une attention si forte et si pressante,
vous regardiez plus Dieu que les affaires;
et quand les affaires sont de si grande importance
qu'elles requièrent toute votre attention pour être bien faites,
de temps en temps vous regarderez à Dieu,
comme font ceux qui naviguent en mer,
lesquels, pour aller à la terre qu'ils désirent,
regardent plus en haut au ciel que non pas en bas où ils voguent.
Tu es fatigué de la vie
Et tu es plein de soucis
La joie est devenue effroi
Ta vie est un tableau noir
Le désespoir est devenu ton maître
Tu as un certain avenir
Et un incertain devenir
Viens, viens et donne toi à Jésus
Donne lui ton coeur, ton être
Laisse le être ton maître
Tu es seras esclave d'une véritable paix
Et d'une joie parfaite
Viens, viens et sois à Jésus
Ton avenir sera à Eden
Et ton devenir certain
Viens, laisse le être maître de toi
et ta vie débordera d'espoir
(trouvé sur internet)
lettre de Jésus...ton ami
Cher ami, comment vas-tu ?
Il fallait que je t'envoie un mot pour te dire comment je t'aime et me fais du souci pour toi.
Je t'ai vu hier quand tu parlais à tes amis.
J'ai attendu toute la journée en espérant que tu me parlerais aussi.
Quand vint le soir, je te donnai un coucher de soleil magnifique pour terminer la journée, et une brise fraîche pour te reposer ... et j'attendis.
Tu n'es jamais venu. Oh ! Oui, ça m'a fait mal d'être ignoré, mais je t'aime quand même.
La nuit dernière, je t'ai vu t'endormir et désirant toucher ton front, j'ai répandu un rayon de lune sur ton oreiller et ton visage et j'attendis encore.
Mais tu ne m'as pas parlé.
Tu te réveillas tard et partis précipitamment pour travailler, et mes larmes étaient mêlées à la pluie qui tombait alors.
Aujourd'hui tu as l'air tellement triste, tellement seul, ça me brise le coeur parce que te comprends.
Mes amis m'ont laissé tomber et m'ont blessé très souvent, moi aussi.
Si seulement tu partageais avec moi ta tristesse et ta solitude, je suis certains que je pourrais t'en soulager.
Je t'aime, tu sais, et j'essaie de te le dire par le ciel bleu et par la tendre herbe verte.
Je te le murmure dans les feuilles des arbres, et te l'écris dans la couleur des fleurs.
Je te le crie dans les ruisseaux de montagne et je donne aux oiseaux des chansons d'amour à te chanter.
Je t'habille de la chaleur du soleil et aromatise l'air du parfum de la nature.
Mon amour pour toi est plus profond que l'océan et plus grand que le plus vif de tes désirs.
Oh ! Si seulement tu savais combien je veux te parler et t'accompagner sur la route.
Je sais que c'est parfois difficile sur cette terre, je le sais vraiment j'y ai vécu aussi.
Et puis, je veux que tu rencontres mon père, car mes amis sont les siens aussi.
Appelle-moi ! Demande-moi ! Parle-moi !
Ne m'oublie pas, j'ai tant de choses à partager avec toi.
Je ne t'importunerai plus, tu es libre de m'accepter comme ami.
C'est ta décision.
Moi, je t'ai choisi, et à cause de cela, j'attendrai encore parce que je t'aime !
Ton ami Jésus-Christ
(auteur inconnu)